A voir cette parution : Bourges : le luchrone au centre d’un bras de fer

Je m’empresse de mettre en pleine lumière ce post qui vient de paraître, dont le propos est «l’automobile».

Son titre (Bourges : le luchrone au centre d’un bras de fer) parle de lui-même.

Annoncé sous la signature «d’anonymat
», l’écrivain est positivement connu.

La fiabilité est ainsi importante concernant ce papier.

Le post a été diffusé à une date notée 2023-12-16 18:00:00.

Voilà ll’article :

L’artiste, Alain Le Boucher, n’est pas du tout satisfait de la manière dont son dé s’illumine. La programmation des leds (qui ont remplacé les ampoules en 2020)  est trop mathématique, pas assez aléatoire alors que son oeuvre symbolise justement le hasard. Il ne retrouve donc plus le concept qu’il avait travaillé lors de la création de son luchrone en 1986 :  » C’est du bricolage, ce qu’ils ont fait, assène Alain Le Boucher. Les composants n’ont plus rien à voir avec ceux d’origine qui étaient très résistants. Et deuxième problème, c’est une oeuvre sur laquelle j’ai travaillé des années. J’ai créé une partition lumineuse et elle n’est plus du tout respectée. La mairie semble ignorer que c’est une oeuvre d’art. Moi, je parle de vandalisme municipal. Le luchrone, c’est pas de l’éclairage public ou un sapin de noël ! «  
Les leds sont trop jaunes alors que l’artiste voulait une température de lumière plus froide, blanche comme la lune.

Le luchrone est en parfait. L’éclairage fonctionne. © Radio France
Michel Benoit

Face à ces récriminations, la mairie a donc préféré éteindre le luchrone mais Hugo Lefelle, adjoint au maire, se dit prêt à une nouvelle intervention si elle ne coûte pas trop cher. Il tend la main à Alain Le Boucher :  » Nous, on est ouverts. On l’a déjà rencontré plusieurs fois, mais on lui a fait savoir qu’on ne souhaitait pas payer plusieurs milliers d’euros pour reprogrammer un élément. S’il souhaite retravailler avec les jeunes du lycée de la salle qui avaient pris part à la restauration en 2020, sur une nouvelle programmatino qu’il jugerait plus en adéquation avec l’esprit de son oeuvre, on apportera tout notre soutien, y compris financier, Mais on ne souhaite pas payer une deuxième fois l’oeuvre qui a déjà été acquise par la ville et qui est en état puisqu’elle s’allume sans problème. « 

Le luchrone ne passe pas inaperçu à Bourges © Radio France
Michel Benoit

Le litige est donc aussi financier. Il porterait sur 10.000 euros… et la ville de Bourges râcle déjà les fonds de tiroir.

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