Nous venons de trouver cet article sur le propos « l’automobile ». Avec plaisir nous vous en diffusons le principal dans cette publication.
Le titre saisissant (Fans de sport automobile, le père et le fils s’éclatent au Trophée Protos de France) est évocateur.
Le journaliste (identifié sous la signature d’anonymat
) est positivement connu.
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Compétition ouverte aux pilotes amateurs de bolides historiques et modernes, reconnue par la Fédération française de sport automobile (FFSA), le Trophée Protos de France se dispute sur des circuits prestigieux de France comme au Mans.
Louis Mainguy l’a remporté l’an passé. Au volant de sa Funyo F5, il a été le meilleur de sa catégorie sur l’ensemble de la saison, participant à 5 des 8 courses.
Fan du FC Nantes et de sport auto
Originaire du Landreau (Loire-Atlantique) et âgé de 38 ans, Louis est allé chercher la récompense en famille, à Paris fin décembre lors des Trophées du sport automobile. La crème des crèmes du sport auto français était réunie (Ocon, Gasly…).
Un chouette moment et une fierté assurément pour le papa, Jean-Luc Mainguy.
« C’est lui qui m’a transmis le virus. Depuis tout petit, je regardais à la télé les 24 heures du Mans, la Formule 1… J’ai fait du foot pendant 20 ans au LLOSC (club du Loroux-Landreau, ndlr.), on est fans du FC Nantes dans la famille, mais c’est quand je suis monté à Paris pour mes études, que je me suis mis au sport auto », raconte Louis, commercial dans la cybersécurité sur Paris.
Le papa au volant d’une Simkit
Tout comme son fils, le père participe également au Trophée Protos de France. Jean-Luc, 72 ans, pilote pour le plaisir une Simkit, un modèle de la fin des années 70. « Il a été une fois vice-champion en 2015 », relève Louis.
Les véhicules – des biplaces avec roues couvertes comme tous les protos pouvant aller jusqu’à 230 km/h – sont préparés dans le garage du papa au Landreau.
« Depuis l’an passé, on a créé une association MRG Compétition avec mon père et Cyrille Rubaud, notre ami mécano », explique Louis, qui s’est mis à la compétition en 2014 aux Remparts d’Angoulême. « J’avais fini 3e, se souvient-il. Il y avait la joie d’être sur le podium… c’est là que s’est produit le déclic ».
Depuis deux ans, Louis, qui vit au Loroux-Bottereau, s’aligne sur de plus en plus de courses, grâce à leurs deux sponsors qui couvrent le financement de leurs frais logistiques et d’engagement.
Une saison sur le Trophée coûte 5 000 à 6 000 €, hors coût d’entretien et d’achat du véhicule.
Papa d’un garçon de 6 ans, Louis Mainguy remet son titre en jeu à partir de ce week-end, sur le circuit de Nogaro, à côté de Pau. C’est l’ouverture de la saison 2024.
Ce qui me fait vibrer dans ce sport, ce sont les rencontres que l’on peut faire. C’est un petit milieu, une vraie famille de pilotes amateurs. Nous sommes très loin de la Formule 1 et des clichés que l’on retrouve dans le sport auto.
Louis a écrit un livre sur le Trophée
Champion en titre, membre du bureau de l’association qui organise le Trophée Protos de France, Louis a aussi écrit un livre de 120 pages l’an passé « pour retracer la saison complète de notre championnat ».
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